Pour te mettre déjà un peu dans l’ambiance du festival Into The Wild pour lequel j’offre des places (voir autre épisode sorti ce jour pour les détails), voici une rediff d’une invitée vraiment extra : Sophie Planque. Elle nous y raconte son époustouflante épopée de 2 ans de l’Alaska à la Patagonie à vélo, 28.743 km entre neiges, déserts, montagnes et jungles pour atteindre la ville du bout du monde au nom devenu légendaire : Ushuaïa.
C’est un extrait de l’épisode 22 du podcast que je te mets ici entre les oreilles – si tu as envie d’écouter l’épisode complet, tu recherches donc le 22, paru le 8 mars 2022. Pour « tomber » dessus directement sur n’importe quelle plateforme, suivre ce lien (je sais le chargement est parfois un peu lent mais « ça » cherche tout seul pour vous, donc trop pratique).
2x2x2 places à gagner pour le festival Into The Wild qui se déroulera à Bruxelles (Wolubilis) les 21 & 22 mars prochains ! Ecrivez-moi à anbe@storylific.com pour en bénéficier. N’oubliez pas de me préciser si c’est pour le jeudi ou le vendredi. Primeur pour les abonnés du podcast – cette annonce ne paraîtra que plus tard sur les réseaux sociaux.
Dans ce qui suit on va inévitablement et pour notre plus grand plaisir te parler du clan Horn car les liens du sang chez eux, ils sont dans le genre très, très puissants. Annika et Jessica sont soudées comme les doigts de la main, leur rapport à leur aventurier de père Mike Horn est génial aussi – chacun.e ayant trouvé sa place bien à lui/elle dans ce monde de l’aventure qui leur est vital.
Pourquoi part-on en aventure ? Qu’est-ce que ça apporte ? On en parle avec Jessica – entre 2 fou-rires. A PROPOS DU FOU-RIRE d’antologie plutôt visuel : pour le VOIR sur ma chaîne YouTube tu tomberas dessus en suivant ce lien
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Chapitres : 00:00:00 – Début 00:06:04 – une entreprise qui explose… 00:07:08 – question de Anne Ronsin 00:08:55 – ne pas se mettre de limites 00:10:05 – rebelle? 00:11:11 – pourquoi part-on à l’aventure ? 00:13:15 – les aventures avec son père 00:13:30 – enfant : le pôle nord et la prépa au Canada 00:14:15 – UTMB en famille… il faut suivre ! 00:15:28 – Half Marathon des Sables Jordanie (HMDS) 00:27:33 – la force d’adaptation de Mike Horn 00:28:24 – le K2 avec Mike et Annika : un moment décisif 00:33:38 – chaque aventure a un but 00:34:55 – Transmission : PangaeaX 00:37:10 – la nature : pour savoir qui nous sommes vraiment 00:38:05 – l’échec 00:41:26 – le succès 00:43:51 – Question de Marc : astuces aventure 00:47:03 – son actu
Un clown qui a une attitude étrange, c’est normal. Un poisson clown qui a un comportement étrange, voire suicidaire, ça l’est moins. Alors qu’est-ce qui peut transformer le poisson clown, un cousin de notre vaillant Némo, en kamikaze ? Eh bien c’est la concentration en gaz carbonique. C’est ce qu’a démontré une étude publiée par Nature Climate Change. Une teneur en CO2 dans l’océan trop élevé, comparable à celle prévue à la fin de ce siècle, perturbe le système sensoriel des poissons clowns. Non seulement ils perdent le sens de l’orientation, mais pour certains, ils se jettent dans la gueule de leurs prédateurs. En effet, alors que nos chers poissons clowns fuient actuellement leurs prédateurs, des poissons clowns élevés dans un milieu deux fois plus riche en CO2 vont suivre l’odeur de leurs prédateurs et remonter le courant d’eau jusqu’à celui-ci. Je vous passe les détails, mais l’explication c’est la perturbation d’un mécanisme de transmission neuronale lié au gaz carbonique présent dans l’eau. Et notre poisson clown devient un kamikaze malgré lui, victime d’un gaz à effet de serre que nous déversons dans notre atmosphère malgré tous les effets que nous prévoyons déjà.
Et notre petit Némo n’est pas le seul à être perturbé. Le poisson demoiselle, lui aussi, s’en trouve tout retourné. Après quatre jours passés dans une eau chargée en gaz carbonique, le poisson demoiselle confond sa droite et sa gauche. Heureusement qu’il ne vote pas. Dans les deux cas, ces exemples montrent que les perturbations des océans par le gaz carbonique vont bien au-delà du réchauffement des eaux, de leur acidification ou du transfert d’espèces invasives. C’est l’organisme vivant qui est perturbé intérieurement, qui se modifie et qui transforme les comportements. Et c’est donc l’écosystème dans sa totalité qui est en jeu. Et si l’on regarde les conséquences globales, c’est le risque d’une ample disparition de biodiversité qui nous guette.
Et personnellement, je me pose la question de savoir quel sera aussi l’impact sur nos neurones. Mais je n’ai pas encore vu d’études sur le sujet. Mais on devrait vite l’envisager et quantifier l’impact sur notre humanité. Bien, la morale que je retiens est celle-ci. Arrêtons de faire les clowns sur cette planète. Soyons responsables. Stoppons nos émissions de gaz carbonique. Revoyons nos politiques énergétiques. C’est aussi, au-delà de la réduction des gaz à effet de serre, un excellent moyen de stopper une des menaces qui pèsent sur la chimie de nos océans et donc de leurs habitants. Et bien entendu, réduire le gaz carbonique émis, c’est aussi la possibilité pour les petits et les grands de continuer à s’émerveiller de la robe du poisson clown et de ses dandinements dans les anémones qui peuplent les récifs coralliens.
Pendant un mois, le Sénégal s’est retrouvé plongé dans le noir. Le 3 février, Macky Sall annonce qu’il annule l’élection présidentielle prévue trois semaines plus tard. Aveu de faiblesse du président après de nombreuses tentatives d’éliminer les candidats de l’opposition à sa succession.Aussitôt, le peuple sénégalais se mobilise de multiples manières ; une fois encore, l’on pourrait dire, tant les soulèvements ont été nombreux ces dernières années.Focus cette semaine sur ces témoignages répétés d’une vague de fond qui gagne au Sénégal comme en Afrique de l’Ouest pour la souveraineté et la décolonisation véritable.Avec Ousmane Diallo, chercheur à Amnesty International pour le Sénégal et le Sahel, Florian Bobin, étudiant chercheur en histoire à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et Clair Rivière, journaliste indépendant qui écrit notamment pour Afrique XXI, Le Soir et la radio belge.MEDIASAfrique XXI, France 24, TV 5 Monde, Mediapart, Basta.MUSIQUE1’08 Xuman — Dictateur15’34Keurgui Crew — Diogoufi27’09Dip Doundou Guiss – #FreeSenegal (VOSTFR VOSTEN).mp3VISUELAprès une émeute à Dakar, 2011.Auteur Jeff Attaway
Pendant un mois, le Sénégal s’est retrouvé plongé dans le noir. Le 3 février, Macky Sall annonce qu’il annule l’élection présidentielle prévue trois semaines plus tard. Aveu de faiblesse du président après de nombreuses tentatives d’éliminer les candidats de l’opposition à sa succession.Aussitôt, le peuple sénégalais se mobilise de multiples manières ; une fois encore, l’on pourrait dire, tant les soulèvements ont été nombreux ces dernières années.Focus cette semaine sur ces témoignages répétés d’une vague de fond qui gagne au Sénégal comme en Afrique de l’Ouest pour la souveraineté et la décolonisation véritable.Avec Ousmane Diallo, chercheur à Amnesty International pour le Sénégal et le Sahel, Florian Bobin, étudiant chercheur en histoire à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et Clair Rivière, journaliste indépendant qui écrit notamment pour Afrique XXI, Le Soir et la radio belge.MEDIASAfrique XXI, France 24, TV 5 Monde, Mediapart, Basta.MUSIQUE1’08 Xuman — Dictateur15’34Keurgui Crew — Diogoufi27’09Dip Doundou Guiss – #FreeSenegal (VOSTFR VOSTEN).mp3VISUELAprès une émeute à Dakar, 2011.Auteur Jeff Attaway
Fréquence Terre a rencontré Nicolas Guillou, réalisateur du film « Nous serons toujours là – Plogoff 1980 ». L’histoire (réelle) d’un village breton (Plogoff – Finistère, pointe du raz) qui s’est mobilisé dans les années 1980 contre l’implantation devant chez eux, d’une centrale nucléaire.
Non sans rappeler des combats comme celui de Notre-Dame-Des-Landes, Nicolas Guillou raconte comment les habitants (et les maires) des communes ont appris par les journaux et sans aucune concertation préalable, qu’une centrale allait se construire sur leur territoire.
La population s’est très vite mobilisée, non sans créer des déchirures au sein de la population voire même dans certaines familles.
Pour monter son film, Nicolas Guillou est allé à la rencontre de la population, sur place. Il a été surpris de constater que 44 ans plus tard, la plaie n’était pas refermée.
« Quand j’ai organisé mes réunions publiques pour présenter mon projet, j’ai même vu des femmes pleurer tellement le traumatisme était encore frais dans les esprits ».
Ce que Nicolas Guillou voulait montrer dans son film, c’est « la mobilisation positive »… « montrer qu’il est possible d’arriver à des résultats si on se mobilise ».
Si 40 ans après cet événements le traumatisme est encore palpable, pour Nicolas Guillou nous sommes loin d’avoir réglé ce genre de problème. Pour lui, le gouvernement cherche toujours à passer en force et « nous prend pour des cons ».
Pour ce qui est du problème de l’énergie aujourd’hui en France et dans le monde, « nous prenons le problème à l’envers »… « Ce sont des projets qui doivent s’inscrire sur le long terme, avec la population. Nous avons des ingénieurs » …
De rappeler que le nucléaire civil est au centre des intérêts en Ukraine et il faut se poser la question dans le cadre d’une guerre plus large.
La préoccupation des habitants de Plogoff était d’abord une question « d’urbanisme ». La centrale allait dénaturer le paysage et des habitants allaient être délocalisés ce à quoi ils s’opposaient fermement.
Ce n’est que dans un second temps et après la constitution par les habitant eux-mêmes de comités locaux d’information nucléaire (CLIN) que des scientifiques sont venus expliquer à la population locale ce qu’était le nucléaire et toute sa dangerosité.
Ces séances d’information parfois à l’origine de la constitution des premières associations écologistes, ont eu comme effet de renforcer la mobilisation. Pour les pêcheurs et les agriculteurs du coin, l’inquiétude était grande : « personne n’achètera plus mes poissons » … « personne n’achètera plus mes légumes ». Même si EDF leur assurait le contraire, la méfiance s’est installée et les habitants ont découvert au final toutes les techniques sournoises employées par EDF pour leur faire courber l’échine.
Vous l’avez compris, la mobilisation l’a emportée sur l’implantation de la centrale à Plogoff, mais pour Nicolas Guillou, il était important de faire revivre cet événement et de mettre en exergue ce qu’il appelle « la lutte positive », « car ce n’est pas fini »… « le cas de figure peut se reproduire »… de prendre l’exemple des bonnets rouges (mobilisation en 2013 contre le projet de la taxe poids lourds) ou encore Notre-Dame-Des-Landes.
« Je reproche aux gouvernements de prendre des décisions à court terme »… » ce sont toujours des décisions qui doivent produire leurs effets pendant le quinquennat »… »sur des problématiques aussi importantes que l’énergie, il faut voir plus loin »… »j’ai peur que nous ayons le même problème avec l’éolien et le photovoltaïque ».
Plogoff sort en salles le 27 mars. Renseignez-vous sur les salles et les dates sur le site Allociné
Quand on a le souci du vivant, on espère que les atteintes les plus graves à la nature soient criminalisées. Pour ce, il est nécessaire de reconnaître le crime d’écocide qui est un moyen de contraindre les sociétés récalcitrantes par des sanctions lourdes. Mais ce crime d’écocide n’est toujours pas reconnu en France.
L’un des arguments est que le droit de l’environnement est suffisamment complet et que le problème réside avant tout dans son application. Ce qui n’est pas tout à fait juste, il suffit de l’illustrer par des faits. Exemple, les forages de Total en Guyane, le déversement de résidus de béton lafarge dans la Seine, l’incendie dans l’usine de produits chimiques Lubrizol à Rouen. Bref, notre système juridique n’est tout simplement pas assez dissuasif pour tenir tête aux grands pollueurs et pour les discipliner.
La reconnaissance du crime d’écocide est une avancée juridique indispensable pour protéger la sûreté et la santé de nos territoires et de leurs habitants humains et non-humains. Pourtant, la plupart du temps, le gouvernement et les élus prennent la défense des intérêts financiers plutôt que ceux de la nature. Les dirigeants politiques se succèdent sans prendre les mesures qui s’imposent pour sécuriser le fragile équilibre mondial. Pourtant, les scientifiques ont défini de manière précise les rouages des mécanismes planétaires.
Pour sanctionner les récalcitrants, ce qui malgré les alertes des scientifiques contrevient aux stratégies d’adaptation, le droit doit se douter de nouveaux outils. L’écocide en est un Actuellement, les activités industrielles provoquent des dommages écologiques graves, en toute impunité, en accord avec l’administration.
Pourquoi ? Parce que l’État distingue entre les destructions de la nature qui sont légales, car autorisées par les pouvoirs publics, et celles qui sont illégales. La limite entre les dégradations qui sont tolérées et celles qui ne le sont pas relève d’un arbitrage entre les intérêts économiques privés des entreprises. Des territoires entiers peuvent être ainsi sacrifiés. Un exemple, la France compte par exemple plus de 323 000 anciens sites miniers ou industriels dont la dépollution n’a souvent été assurée que de manière superficielle, voire laissée aux générations suivantes. La reconnaissance du crime d’écocide vise à se doter d’une incrimination indépendante de l’administration, reposant uniquement sur la constatation scientifique d’atteinte grave à l’intégrité de la nature et de la santé des territoires.
Les discussions sur la scène internationale placent l’écocide au niveau du crime de génocide. Et par souci de cohérence, il est donc impensable que la France en donne une définition qui amoindrisse sa portée. Malheureusement, en 2020, le ministre de la justice et celui de la transition écologique annonçaient un délit d’écocide mais qui n’était que d’une portée de simples délits de pollution. En fait, techniquement, ce qui était proposé correspondait à un délit générique d’atteinte à l’environnement, opportunément renommé délit d’écocide. Mais l’écocide, c’est le crime qui est contre l’environnement, celui qui est au sommet de la pyramide, pas un simple délit. Quant à ces délits, les statistiques montrent qu’actuellement, les magistrats ont tendance à préférer conclure des transactions pénales qui permettent aux auteurs de dommages écologiques de ne pas se retrouver devant les tribunaux.
On le voit, il serait illusoire de s’attendre à ce que la révolution que représente la reconnaissance des droits de la nature et du crime d’écocide vienne de nos élus. Ce changement doit venir de nous, des citoyens engagés, qui agissons et mettons en oeuvre des projets concrets pour défendre la nature. Nous ne pouvons compter sur ceux qui nous gouvernent actuellement et qui ne prêchent que la croissance pour changer de trajectoire. Ce sont les bouleversements sociétaux qui impulsent l’adoption de nouvelles lois, et pas l’inverse. A nous de réagir et de convaincre que l’écocide n’est pas une notion seulement nécessaire, mais qu’elle est également désirable.
Elles ne sont toujours qu’une trentaine en France, elle fut la première en Europe : je te parle aujourd’hui des guides de haute montagne. Grenobloise, Martine Rolland est de la trempe de tous ceux que j’interviewe ici : intrépide, passionnée, et pas vraiment du genre à écouter quand on lui dit « non ». D’abord parachutiste, puis alpiniste de très haut niveau, elle participe aux plus grandes courses : Denali, K2, Yosemite, …. , elle sera adoubée Chevalier & Officier de l’Ordre National du Mérite. Un jour elle décide de devenir guide de haute montagne. Suite logique de son parcours pour elle, révolution dans ce petit monde, Elle en fait le récit dans un livre, « première de cordée », et c’est ce qu’on vous raconte ici.
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Chapitres : 00:00:00 – Début 00:04:22 – la passion première : le parachutisme 00:09:10 – les courses en montagne : les conditions étaient plus difficiles 00:11:49 – le matériel était très lourd 00:13:34 – allusion à Tom de Dorlodot 00:15:00 – les anciennes cotations des voies 00:15:16 – pitonner et dépitonner 00:16:12 – avant la magnésie : trouver son itinéraire 00:16:36 – les grandes voies étaient encore de vraies aventures 00:17:32 – le Denali 00:17:48 – l’intensité du binome en cordée 00:21:31 – Yann 00:24:03 – pourquoi l’alpinisme 00:28:24 – le mauvais accueil de sa candidature à devenir guide de haute montagne 00:29:48 – pallier la force par la compétence et les techniques 00:31:05 – l’examen de guide 00:36:20 – ski alpinisme 00:38:40 – quand la distraction est fatale et donc pas une option 00:42:58 – l’ascencion en famille à madagascar 00:43:49 – quel conseil pour les femmes 00:44:39 – faire ce qu’on a envie de faire sans se préoccuper du qu’en dira-t-on 00:46:41 – la vie en refuge pendant 20 ans 00:49:22 – les valeurs 00:50:39 – l’objet 00:51:48 – perdre des amis en montagne 00:53:03 – K2 et le virage dans leur parcours : l’escalade 00:56:02 – Freÿr 00:57:09 – la montagne a changé avec le climat ! 00:59:46 – l’échec : le K2 01:02:41 – le succès 01:03:41 – Réussir sa vie 01:04:16 – la chance 01:06:09 – son livre
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