Les activistes de Greenpeace, eux, ne font pas de blablabla, mais ils concrétisent sur le terrain leurs revendications. Cela se déroule généralement de manière particulièrement spectaculaire, mais toujours de manière non violente.
On se souvient, bien entendu, de leurs bateaux sillonnant les mers du monde entier pour dénoncer les atteintes à l’écosystème ou pour empêcher des essais nucléaires, qui sont entrés dans l’histoire du mouvement écologique (Photo Pierre Guelff), ou, plus près de nous, le feu mis fictivement aux bâtiments de l’Union européenne à Bruxelles.
Greenpeace se présente clairement (podcast ci-contre) : Nous sommes pour la transformation de consommation d’énergie, de l’agriculture, de la mobilité et de l’industrie pour que notre planète reste vivable et vivante. Nous protégeons les forêts, les océans, œuvrons pour une société verte et juste. Nous le faisons avec des actions directes non violentes. »
Greenpeace est présent à Glasgow et se fait déjà entendre, lorsque sa représente Carine Thibaut, experte du climat, épingle l’accord concernant la prétendue déforestation qui n’est pas contraignant et est de mise en 2030. Raison pour laquelle le président brésilien Bolsonaro le signa sans grand problème.
Question majeure posée par l’activiste : que va devenir l’Amazonie dont le point de bascule, celui vers une situation incurable, est très proche ?
Bref, cela reste de la poudre aux yeux, alors que l’urgence n’est plus à démontrer.
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