Depuis deux jours, la COP 26 bat la mesure de la planète à Glasgow. Du moins, on aimerait croire que derrière des paroles et des promesses, il y ait des actes concrets.
Donc, un peu de patience à ce sujet, et en attendant que disent-ils dans la métropole écossaise ?
- Alok Sharma, président de la COP26 : « C’est le dernier et le meilleur espoir, car durant la pandémie de COVID, le changement climatique n’a pas pris de vacances. Tous les voyants sont au rouge sur le tableau de bord du climat. »
- Patricia Espinosa, responsable Climat à l’ONU : « L’humanité est face à des choix difficiles, mais clairs : mettre en place la transition nécessaire ou accepter de participer à notre propre extinction. »
- Boris Johnson : « Si Glasgow échoue, tout échoue. »
- Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU : « Soyons clairs : il y a un risque important que Glasgow ne tienne pas ses promesses. »
- Emmanuel Macron, président de la France : « Nos accords commerciaux doivent refléter nos engagements climatiques. Je prône l’ambition, la solidarité, la confiance et la transparence pour lutter contre le réchauffement climatique. »
Réplique acerbe de Greenpeace et Oxfam France : « Les leçons qu’il donne sont loin de l’exemplarité qu’il promeut. Ce numéro d’autosatisfaction est en complet décalage avec la réalité de l’action de son gouvernement depuis plus de quatre ans. Il ne faut pas oublier que la France a été condamnée pour son inaction climatique à la mi-octobre ! Macron exporte le climato-cynisme. »
- Greta Thunberg : « En tant que citoyens de la planète, nous vous exhortons à faire face à l’urgence climatique. Pas l’année prochaine. Pas le mois prochain. Maintenant. Rejoignez-moi et les militants du monde entier et exigez des dirigeants qu’ils affrontent la crise climatique à la COP. »
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