Il ne faut plus craindre de citer les noms des principaux fossoyeurs de notre planète, les politiciens à la solde de dirigeants de multinationales les plus polluantes de la planète qui, elles, sont : Coca-Cola, la société la plus polluante de la planète en matière de plastique, selon le rapport de Berak Free From Plastic en décembre 2020, Coca-Cola est suivie de Pepsi et de Nestlé.
De manière hypocrite, selon cette ONG, ces multinationales évoquent le « greenwashing » (image de responsabilité écologique trompeuse) pour se dédouaner, mais rien n’y fait et personne n’est plus dupe de cette stratégie marketing.
Ce classement répertorie aussi Unilever, Mondelez International, Mars, Procter&Gamble, Philip Morris et Colgate-Palmolive.
De manière plus globale, il y a quelques années, une liste avait déjà été dressée par des ONG et répercutée par le média L’Économie, à savoir, que les cinquante plus grosses entreprises pollueuses étaient essentiellement composées de pétroliers et d’énergéticiens, de cimentiers et de groupes métallurgiques ou miniers.
Seize d’entre eux étaient des entreprises américaines (ExxonMobil, Walmart, Dow Chemical…). Avec six suivaient le Royaume-Uni, avec cinq le Canada, la France et l’Allemagne. Le Brésil, le Japon, l’Espagne, la Suisse en comptaient deux, pour un représentant de l’Australie (Woodside), l’Italie (Enel), le Luxembourg (ArcelorMittal), les Pays-Bas (Shell), la Norvège (Statoil), l’Afrique du Sud (Sasol) et la Corée du Sud (Posco).
Côté français, Total, Saint-Gobain, Air Liquide, EDF et GDF Suez figuraient dans ce lamentable top 50 mondial. Il fallait y ajouter Lafarge étrangement disparu de la liste mais qui apparaissait pourtant comme deuxième pollueur de l’Hexagone.
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