Le 11 septembre 1973, Salvador Allende, président démocrate et humaniste du Chili, était victime de la dictature militaire menée par Augusto Pinochet. Il fut la première victime de dizaines de milliers d’autres chiliens.
Lors d’un hommage rendu à Evere (Bruxelles), si différents témoignages confirmèrent ce tragique pan de l’Humanité, les intervenants ont, également, attiré l’attention sur les menaces antidémocratiques qui pèsent, ci et là, de la part de nostalgiques de pareille régime dictatorial.
Fréquence Terre, en partenariat avec POUR, ne pouvait que transmettre ces témoignages qui, unanimement, appellent encore à la vigilance, à la solidarité et à la fraternité universelle.
Extraits de témoignages :
- « Comme nous le rappelle Isabel Allende (nièce de Salvador), les ouvriers, les femmes, les jeunes…, sautaient de joie dans la rue pour accueillir leurs (nouveaux) président et gouvernement de l’espoir… »
- « Dans son discours politique, l’extrême droite fait appel à la peur et aux craintes. Peur du changement, peur et rejet de l’ ‘‘autre’’. »
- « Se souvenir d’un événement ne sert pas à sortir les fleurs et les drapeaux sans qu’on puisse y mettre du sens. »
- « Les idéaux que nous légua notre président (Salvador Allende) sont toujours d’actualité.»
La totalité des témoignages, ponctuée de chants, est à écouter sur notre podcast repris ci-contre.
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Merci a cet homage rendu au peuple Chilien, a ses victimes,notament celles du Front Poulaire , au Président Alliende, et tous les Prisonniers politiques victimes de la Junte Militaire et a toutes les familles victimes des agissements de cette junte barabare.
Merci, aussi, pour votre commentaire.