« Être bien avec soi » est une chronique de Marie-Paule Peuteman.
Il est indéniable que la lecture quotidienne est généralement source de bienfaits : elle stimule le cerveau, diminue le stress et allège notre anxiété : elle améliore les connaissances, la mémoire, l’attention et la concentration, développe nos capacités d’analyser de synthétiser et accroît notre vocabulaire, ce qui est tout bénéfice dans notre langage.
Prenons le dernier et traditionnel roman de la rentrée littéraire d’Amélie Nothomb et un terme peu utilisé, voire assez étrange dans le titre : « Les prénoms épicènes », livre paru chez Albin Michel, auteure qui sera présente lors de la reprise de « La Grande Librairie », la célèbre émission de François Busnel (photo France 5 ), désormais programmée le mercredi à 20h55 sur France 5 : « Pas de rentrée littéraire sans Amélie Nothomb ! déclare le présentateur. Vous le savez : elle est la marraine de cette émission. Elle sera donc à mes côtés pour ce premier rendez-vous de la saison et évoquera son 27ème roman, l’histoire d’une relation père-fille dans laquelle la frontière entre l’amour et la haine se montre particulièrement ténue. »
J’ai lu ce roman pour « Fréquence Terre-Écolodio » et, on s’en doute avec une auteure comme Amélie Nothomb, la fille du roman n’est pas comme les autres.
La première étape de cet ouvrage, est de s’installer dans le décor et de découvrir la présentation du couple. Puis, c’est la plongée dans l’histoire singulière de cette enfant, descente à la même vitesse que lorsqu’on s’assied dans le fauteuil confortable d’un cinéma et qu’on se laisse submerger par les images d’un bon film.
Je ne vais pas dévoiler la fin des 150 pages et il appartiendra à chacun d’en extraire sa propre « morale ».
Une petite remarque cependant : en couverture de l’ouvrage, Amélie Nothomb écrit : « La personne qui aime est toujours la plus forte ».
Assurément, un indice… percutant !
Podcast: Download