Littérature sans Frontières est une chronique de Pierre Guelff.
Quelle histoire ! Flora, jeune œnologue, quitte la Bourgogne pour le vignoble alsacien. Certes, elle fait des recherches au sujet de la vigne, mais, surtout, elle rejoint la terre de ses ancêtres pour tenter de retrouver ses racines. Cette histoire est celle d’un terrible secret de famille et, pour l’auteure, Élise Fischer, l’occasion de distiller, le mot est choisi, quelques phrases du meilleur cru dans son livre « Le secret du pressoir » (Pocket).
En voici un aperçu :
« Ne pas savoir qui l’on est, ça fait un trou dans le cœur. »
« Les pieux mensonges, c’est une invention des hommes pour n’avoir pas de comptes à rendre au Très-Haut. »
« On ne rattrape jamais le temps perdu. Ce qui compte, c’est ce qui reste à vivre, ce qui n’est pas encore écrit. »
« Il fallait en finir avec cette peste, avec le nazisme qui avait d’abord enfiévré le pays de Goethe et de Rilke avant de se répandre au-delà des frontières. »
« Rien n’est jamais grave, sauf ce qui est tu… »
Et, croyez-moi, ce qui est tu, puis révélé, dans cet ouvrage, n’est pas banal du tout…
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