Nos système d’eaux usées véhiculent les urines des femmes chargées en oestrogènes . Ces hormones , après un périple via les stations d’épurations, les rivières, les fleuves , rejoignent la mer et polluent les milieux naturels. Et là, après ingestion, elles féminisent les poissons mâles !
Les composants de la pilule sont juste un exemple de ce qui se retrouve dans un cours d’eau ou en mer. D’autres médicaments, mais aussi ces produits cosmétiques , des crèmes solaires ou des lessives larguent des nanoparticules , autrement dit des particules de moins de 100 milliardième de mètre dans l’environnement. Bien entendu , tout industriel vous affirmera que ces particules sont inoffensives. Sauf qu’elles possèdent une particularité physique, qui fait , qu’une fois à l’intérieur d’un organisme, elles collent à sa surface un enrobage de protéines. Parmi ces dernières , certaines jouent un rôle très important sur l’organisme des animaux et des hommes, notamment dans la consommation de graisses.
A découvrir dans cette chronique
D. KRUPKA
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