samedi, novembre 23, 2024

jdle du 4 juin : prototype motricité marine, Familles à énergie positive, gaz de schistes en perspective, DIlma Roussef et le code forestier, OMS

Vingt quatre kilomètres. C’est la longueur du câble électrique posé mi-mai au large du Croisic (Pays de Loire) pour relier une zone de tests d’énergies marines à la terre ferme. Deux types de projet sont pour l’instant prévus. Le premier, est un prototype destiné à récupérer l’énergie de la houle. Le deuxième, est une éolienne flottante.

L’opération Familles à énergie positive confirme qu’avec un peu de volonté et quelques bons conseils, les économies d’énergies sont à portée de tous. Plusieurs familles se sont regroupées en équipe avec le pari d’économiser le plus d’énergie possible dans leur maison. Pour l’édition 2011-2012, près de 6000 personnes se sont engagées sur 30 territoires. Grâce à des gestes simples, elles atteignent en moyenne 15 % d’économies.

L’Agence internationale à l’énergie a publié un recueil des bonnes pratiques pour l’exploitation des gaz de schistes. Ce document de 150 pages censé répondre aux préoccupations des opinions publiques et convaincre les décideurs présente un scénario dans lequel les spécialistes estiment que la France renoncera à son moratoire et augmentera sensiblement sa production à partir de 2020.

La présidente du Brésil, Dilma Rousseff, a finalement décidé de s’opposer au très polémique Code forestier en censurant partiellement le texte. Cette loi qui risquait de provoquer une vague de déforestation en Amazonie, a recueilli contre elle plus de 2 millions de signatures à travers le monde. Résultat, Dilma Rousseff a opté pour une solution intermédiaire. Sans opposer son véto, elle a plaidé pour la modification voire la suppression d’une trentaine d’articles du projet de loi.

Selon le rapport sur l’évaluation préliminaire des doses de radiation reçues par les populations suite à la catastrophe de Fukushima, publié la semaine dernière par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les doses reçues par les populations sont faibles et en-deçà des normes admises. Cette étude ne prend en compte ni les travailleurs intervenus depuis l’accident, ni les personnes qui habitent dans la zone de 20 km et se base pour l’essentiel, exclusivement sur des données publiques déjà publiées par Tepco et le ministère japonais.

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