Une importante fuite de gaz est survenue dimanche 25 mars sur la plate-forme offshore d’Elgin, située en mer du Nord, au large de l’Ecosse. Total, l’opérateur, n’a pas encore identifié clairement la cause de cette fuite qui a entraîné l’évacuation de plus de 300 personnes et la mise en place d’une zone d’exclusion maritime. L’explosion est l’hypothèse la plus redoutée par Total.
Le 18 mars dernier, paraissait au Journal Officiel un arrêté ministériel interdisant temporairement la culture du maïs OGM MON810 sur l’ensemble du territoire français. Comme attendu, cette décision n’a pas été du goût de tout le monde. Le 29 mars, l’Association Générale des Producteurs de Maïs (A.G.P.M.), l’Union Française des Semenciers (U.F.S) et la Fédération interprofessionnelle de la production de maïs et de sorgho (F.N.P.S.M.S.) ont déposé un recours auprès du Conseil d’Etat contre cet arrêté. Arguant l’absence de preuve scientifique avérée, ils réclament son annulation. Invoquant les difficultés rencontrées par les producteurs de maïs, les auteurs du recours font également l’apologie des « innovations », garantes de « la productivité et de la compétitivité de leurs exploitations et de leurs filières ».
En janvier 2010, la centrale nucléaire de Golfech (1), située en Tarn-et-Garonne, à environ 40 km à l’ouest de Montauban, laissait échapper 450 litres d’e sffluents radioactifs, selon les estimations fournies par EDF. En novembre 2010, le réseau « Sortir du nucléaire », FNE Midi-Pyrénées, les Amis de la Terre Midi-Pyrénées et les associations locales ont déposé plainte. Fin mars, le tribunal de police de Castelsarrasin a décidé de relaxer EDF. Mais le réseau « Sortir du nucléaire » s’est engagé à faire appel de ce jugement.
54 % c’est la proportion de français qui estiment qu’il est possible de renoncer au nucléaire, conclut un sondage CSA. Une très large majorité des sondés (80%) considèrent que « la France est trop dépendante de l’énergie nucléaire et devrait diversifier ses sources d’énergie ». Plus de deux tiers des sondés estiment qu’un accident nucléaire « aussi grave » que Fukushima pourrait survenir en France et 88% des personnes interrogées considèrent qu’elles ne sont « pas suffisamment » informées des mesures à prendre en cas d’un tel accident.
La SNCF vient d’équiper les alentours de la gare Montparnasse avec des barbelés végétaux. Tout aussi efficaces que les pics métalliques, les plantes épineuses composées de poivrier chinois, de rosier rubigineux ou encore de citronnier rustique sont économiques et écologiques. Sinnoveg, l’entreprise à l’origine du concept de clôture végétale a remis au goût du jour une recette vieille comme le monde. L’entreprise a déjà équipe plusieurs gares, comme Ris-Orangis (Essonne), Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), et des centres de rétention administrative. L’entreprise est aussi habilitée par la Défense nationale pour sécuriser certains de ses sites.
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